Période 3 – Préparation au concours « Le Calame d’Or »
Séance 1 – Thème principal : magie et métamorphoses dans l’Âne d’or d’Apulée
Résumé : L’Âne d’or est raconte les mésaventures de ……….., transformé en …….. par mégarde alors qu’il voulait percer les secrets de la magicienne ……………………..., maîtresse de son amante Photis. Pour retrouver sa forme humaine, il doit manger des ……………..., mais avant d’être délivré de son sort, il connaît de nombreuses mésaventures en tant qu’âne qui a gardé son esprit humain ! Il est enlevé puis vendu par des voleurs, traverses de nombreuses régions dans lesquelles il est initié à la magie et au culte d’…………., et retrouvera enfin sa forme humaine après de nombreuses péripéties !
→ Voici un extrait en français (traduction de Désiré Nisard) : essaie de retrouver une phrase originale figurant dans ce passage. Consulte par exemple le site Agoraclass à l’adresse suivante : http://agoraclass.fltr.ucl.ac.be/concordances/apuleeI/lecture/3.htm
→ Surligne la phrase dont tu as trouvé la traduction, puis prépares-en l’analyse grammaticale.
J’ai trouvé la phrase n° ___ :
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1er extrait : Livre I, 8-9 : Socrate met en garde Aristomène contre les pouvoirs de la magicienne Méroé
[Aristomène est un ami que Lucius a retrouvé lors d’un séjour en Thessalie ; il raconte à Lucius ce qui est arrivé à un certain Socrate]
« C’est une magicienne, dit-il ; elle sait tout : elle peut, à son gré, abaisser les cieux, déplacer le globe de la terre, pétrifier les fleuves, liquéfier les montagnes, évoquer les mânes* (*âmes des morts) de bas en haut, les dieux de haut en bas, éteindre les astres, illuminer le Tartare. (…) Veux-tu, me dit-il, un échantillon ou deux de ce qu’elle sait faire ? En veux-tu davantage ? Te dire qu’elle peut enflammer pour elle, non pas seulement les gens de ce pays, mais les habitants des Indes, mais ceux des deux Éthiopies ; bagatelles ! ce sont là jeux de son art. Tiens, écoute ce qu’elle a fait ici même, et devant mille témoins.
Un de ses amants avait été surpris avec une autre femme. D’un mot elle l’a changé en castor. Cet animal, qui ne supporte pas la captivité, se délivre de la poursuite des chasseurs en se coupant les parties génitales : elle voulait qu’il en advînt autant à son infidèle, pour lui apprendre à employer ses forces ailleurs. Elle avait pour voisin un vieux cabaretier qui lui faisait concurrence : elle l’a transformé en grenouille ; et c’est en coassant du fond de son tonneau, où il barbotte dans sa lie, que le pauvre homme appelle aujourd’hui les clients ! Elle a transformé en bélier un avocat qui avait un jour plaidé contre elle ; il continue à plaider mais sous sa forme de bélier. Enfin, la femme d’un de ses amants laisse un jour échapper contre elle je ne sais quel propos piquant. La malheureuse était enceinte : chez elle soudain les voies de l’enfantement se ferment ; son fœtus n’évolua plus ; et la voilà condamnée au supplice d’une grossesse perpétuelle. Il y a, de compte fait, huit ans qu’elle porte son fardeau ; son ventre est tendu comme si elle devait accoucher d’un éléphant. »
Qui est transformé ? |
En quoi ? |
Pourquoi ? |
Lexique latin de la métamorphose |
Un des amants de Méroé
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En castor |
Il a été surpris avec une autre femme |
Mutavit in feram castorem Elle le transforma en castor |
Un avocat
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En bélier |
Il a un jour plaidé contre elle |
In arietem deformavit Elle le transforma en bélier |
Un voisin
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En grenouille |
Il lui faisait concurrence |
Deformavit in ranam Elle le transforma en grenouille |
La femme d’un de ses amants
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Condamnée à une grossesse perpétuelle |
Propos piquant à l’encontre de Méroé |
Iam octo annorum onere misella illa velut elephantum paritura distenditur
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"Saga, inquit, et divina, potens caelum deponere, terram suspendere, fontes durare, montes diluere, manes sublimare, deos infimare, sidera extinguere, Tartarum ipsum inluminare."
1- « C’est une magicienne, dit-il, et puissante comme une déesse, capable d’abaisser le ciel, de soulever la terre, de pétrifier les fleuves, de liquéfier les montagnes, de faire remonter les âmes des morts, de faire descendre les dieux, d’éteindre les astres, d’illuminer le Tartare lui-même. »
2- « Alium de foro, quod adversus eam locutus esset, in arietem deformavit, et aries ille causas agit. »
Elle en transforma un autre sur le forum, sous prétexte qu’il avait plaidé contre elle, en bélier, et aujourd’hui l’autre défend ses causes en bélier.
3- « Vis, inquit, unum vel alterum, immo plurima ejus audire facta ? »
« Veux-tu, dit-il, entendre un exemple ou un deuxième, voire encore plus d’exploits accomplis par elle ? »
Séance 3 - Extrait 2 : livre II, 5 : lors d’un dîner, Lucius est mis en garde contre la magicienne Pamphile, capable de tout pour parvenir à ses fins
Tandis que mon oeil charmé parcourt à l'envi ces belles choses, revenant sans cesse de l'une à l'autre : « Tout ce que tu vois est à toi », me dit Byrrhène ; et désirant m'entretenir en tête-à-tête, elle fit retirer tout son monde. Quand nous fûmes seuls : « Je tremble pour toi comme pour un fils, mon bien-aimé Lucius, me dit-elle ; j'en prends Diane à témoin. Ah ! que je voudrais pouvoir écarter les dangers qui menacent cette tête si chère ! Garde-toi, mais garde-toi sérieusement des fatales pratiques et des détestables séductions de cette Pamphile, la femme de Milon, que tu dis être ton hôte. C’est, dit-on, une sorcière du premier ordre, experte au plus haut degré en fait d’évocations sépulcrales*. Elle peut, rien qu’en soufflant sur une pierre, une baguette ou quelque autre objet aussi insignifiant, précipiter les astres du haut de la voûte éthérée** dans les profondeurs du Tartare*, et replonger la nature dans le vieux chaos. Elle ne voit pas un jeune homme de bonne mine sans se passionner aussitôt. Dès lors, ni ses yeux ni son cœur ne peuvent se détacher de lui. Elle se répand en douceurs, s’empare de son esprit, l’enlace à jamais dans les chaînes de son inexorable amour. À la moindre résistance, elle s’indigne ; et les récalcitrants sont tantôt changés en pierres ou en animaux ; les autres, elles les anéantit tout à fait. »
*qui évoquent la mort. **le ciel.
a) Contextualisation des deux extraits grâce au début de résumé par Tosca :
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b) Dans ce 2ème extrait, quelle autre magicienne est évoquée ? Quels sont ses points communs avec Méroé ?
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c) Complète la version originale correspondant au texte du deuxième extrait :
Dum hæc identidem rimabundus eximie delector : « Tua sunt, inquit Byrrhena, cuncta quæ vides ». Et cum dicto cæteros omnes sermone secreto decedere præcepit. Quibus dispulsis omnibus, per hanc, inquit, « Deam, ô Luci carissime, ut anxie tibi metuo, et, ut pote pignoti meo, longe provisum cupio. Cave tibi, sed cave fortiter a malis artibus, et facinorosis illecebris Pamphiles illius, quæ cum Milone isto, quem dicis hospitem, nupta est. Maga primi nominis, et omnis carminis sepulcralis magistra creditur : quæ surculis et lapillis, et id genus frivolis inhalatis, omnem istam lucem mundi sideralis imis Tartari, et in vetustum chaos submergere novit. Nam cum quemque conspexerit speciosae formae juvenem, venustate ejus sumitur : et illico in eum, et oculum, et animum detorquet. Serit blanditias, invadit spiritum ; amoris profundi pedicis æternis alligat. Tunc minus morigeros et viles fastidiens, in saxa et in pecua, et quodvis animal puncto reformat : alios vero prorsus extinguit . »
Séance 4 – La transformation de Lucius
Lucius, jeune Romain curieux de magie, est le héros d'un roman d'Apulée (IIe siècle ap. J.-C.). Il raconte lui-même ses aventures : lors d'un voyage en Grèce, il est reçu chez une certaine Pamphile et découvre que c'est une sorcière capable de se transformer en chouette. Il veut alors tenter l'expérience sur lui-même… C'est la servante de Pamphile qui parle la première ; elle a été chargée d'apporter la pommade ("l'onguent") nécessaire à la métamorphose de Lucius…
I. Lecture de l'extrait du roman d'Apulée L'Âne d'or (III, 23-25 : la transformation malheureuse de Lucius).
« Bono animo es quod ad hujus rei curam pertinet,ait, nam mihi domina singula monstravit,quae pos-sunt !Rursus in facies hominum tales figuras reformare: neci istud factum putes ulla benivolentia, sed ut ei redeunti medela salubri possem subsistere. Specta denique quam parvis quamque futilibus tanta res procuretur herbulis: anethi modicum cum lauri foliis immissum rore fontano datur lavacrum et poculum. »
Pyxidem depromit arcula. Quam ego amplexus ac deosculatus prius utque mihi prosperis faveret volatibus deprecatus abjectis propere laciniis totis avide manus immersi et haurito plusculo uncto corporis mei membra perfricui. Jamque alternis conatibus libratis brachiis in avem similis gestiebam : nec ullae plumulae nec usquam pinnulae, sed plane pili mei crassantur in setas et cutis tenella duratur in corium et in extimis palmulis perdito numero toti digiti cogantur in singulas ungulas et de spinae meae termino grandis cauda procedit. Jam facies enormis et os prolixum et nares hiantes et labiae pendulae ; sic et aures inmodicis horripilant auctibus. Nec ullum miserae reformationis video solacium, nisi quod mihi jam nequeunti tenere Photidem natura crescebat.
Ac dum salutis inopia cuncta corporis mei considerans non avem me sed asinum video, querens de facto Photidis sed jam humano gestu simul et voce privatus, quod solum poteram, postrema dejecta labia umidis tamen oculis oblicum respiciens ad illam tacitus expostulabam. Quae ubi primum me talem aspexit, percussit faciem suam manibus infestis et : « Occisa sum misera ! »
II. Conjugaison :
Relevez dans le texte latin les verbes conjugués à l’imparfait, au présent ou au parfait ; transposez chaque verbe dans les deux autres temps verbaux.
Imparfaits |
Présents |
Parfaits |
elle tirait : depromebat |
elle tire : depromit |
elle tira : deprompsit |
je frictionnais : |
je frictionne : |
je frictionnai : |
j’agitais : |
j’agite : |
j’agitai : |
s’épaississaient : |
s’épaississent : |
s’épaissirent : |
durcissait : |
durcit : |
durcit : |
se ramassaient : |
se ramassent : |
se ramassèrent : |
elle poussait : |
elle pousse : |
elle poussa : |
faisait croître : |
fait croître : |
fit croître : |
Les deux temps parfaits et présent ont ici la même valeur narrative : raconter les étapes successives d'un changement d'état. Le présent de narration a ceci de supérieur que les actions sont par lui actualisées : on a l'impression d'être auprès de celui qui revit la scène.
III. En quoi se transforme Lucius ?
a) Ses mains deviennent des sabots .
b) Son cou s'allonge et s'agrandit.
c) Une queue lui pousse en bas du dos.
d) Ses oreilles se développent démesurément.
e)Sa bouche s'allonge,et ses lèvres se mettent à pendre.
f) Ses cheveux deviennent crin et un cuir épais remplace sa peau .
IV. Traduction du texte
« Ne t'inquiète pas pour cela, dit-elle, la maîtresse m'a appris tous les moyens par lesquels il est possible de rendre à leur forme humaine les êtres ainsi métamorphosés. Ne crois pas qu'elle l'ait fait par gentillesse, mais pour que, quand elle rentre, je puisse lui venir en aide en lui donnant le remède voulu. Vois enfin avec quelles plantes de rien, et tout ordinaires, on peut produire de si grands effets ; un peu d'aneth1, joint à des feuilles de laurier, jeté dans de l'eau de source, avec laquelle on se lave et que l'on boit."
Après m'avoir répété ces affirmations, elle se glisse en tremblant de tout son corps dans la chambre et en tire une boîte du coffret. Je pris la boîte à deux mains, je lui donnai des baisers et la priai de bien vouloir m'accorder la faveur d'un vol heureux. Puis, retirant à la hâte tous mes vêtements, j'y plongeai avidement les mains et, puisant une bonne quantité d'onguent, je me frictionnai toutes les parties du corps. Et déjà je m'efforçais d'imiter les mouvements d'un oiseau en agitant alternativement les bras, mais pas le moindre duvet, pas la plus petite plume nulle part ; au lieu de cela, mes poils s'épaississent et deviennent des crins, ma peau, si tendre, se durcit et devient un cuir, aux extrémités de mes mains je ne sais plus combien j'ai de doigts, tous se ramassent en un seul sabot, et, au bas de mon dos pousse une immense queue. Déjà mon visage est difforme, ma bouche s'allonge, mes narines sont béantes, mes lèvres pendantes, et mes oreilles, de la même façon, grandissent démesurément et se hérissent de poils. Je ne vois aucune consolation à ma malheureuse transformation, si ce n’est certaine partie que l’instinct faisait croître, quand bien même je ne plus embrasser ma Photis.
C’en est fait ; j’ai beau considérer ma personne, je me vois âne ; et d’oiseau, point de nouvelles. Je voulus me plaindre à Photis ; mais déjà privé de l’action et de la parole humaine, je ne pus qu’étendre ma lèvre inférieure, et la regarder de côté, l’oeil humide, en lui adressant une muette prière. À peine m’a-t-elle vu dans cet état, que, se meurtrissant le visage à deux mains, elle s’écrie : « Malheureuse, je suis perdue ! »
Extrait des Métamorphoses d'Apulée (III, 24, traduction de Pierre Grimal).
V. Étymologie : trouvez le sens des mots surlignés et des mots français qui en proviennent.
Ce texte d'Apulée, appartenant à l'un des premiers romans de la littérature occidentale, a pour fonction de surprendre le lecteur en l'amusant par des récits extraordinaires et des situations fantastiques, irréelles. La magie a remplacé le pouvoir des dieux (Junon et Pénée chez Virgile et Ovide) et la morale n'est guère présente, car Lucius n'est en rien fautif, si ce n'est un peu trop curieux...
Mots du texte |
Signification |
Mots français issus de la même racine |
cauda corium deprecatus digiti percussit ungulas |
Queue Peau des animaux Il adressa une prière Les doigts Frappa Les ongles |
Caudal, caudé, caudataire Cuir, coriace, cor Imprécation, déprécation, prier, prière, imprécatoire Digital Percuter, percussion, percussionniste, uppercut Ongulé |
Séance 5 - Concours Le Calame d’Or 2018 (entraînement)
Séance 6 – Leçon 14 de la grammaire en ligne (accords dans le GN, noms neutres de la 2e déclinaison)
Séance 7 – Exposés oraux ; dernier extrait de l’Âne d’or
Extrait 4 (livre III, 16) : Photis, servante de Pamphile et amante de Lucius, raconte une mésaventure de sa maîtresse…
« En ce moment même, éperdument éprise d’un jeune Béotien beau comme le jour, il n’est sorte d’artifices et de machinations qu’elle ne mette en jeu. Hier, après midi, je l’ai entendue, entendue de mes propres oreilles, menacer le soleil de l’obscurcir, et d’ensevelir sa lumière dans d’éternelles ténèbres, s’il ne précipitait sa course pour laisser le champ libre à ses conjurations. En sortant du bain, elle avait aperçu son jeune amant assis dans la boutique d’un barbier ; et vite, elle m’ordonna de m’emparer furtivement des cheveux que les ciseaux avaient fait tomber de sa tête. Le barbier me surprit au milieu de l’opération ; et, comme ce trafic de maléfices nous a fait une réputation détestable, il me saisit, et m’apostrophant avec brutalité : « Tu ne cesseras donc pas, dit-il, de voler ainsi les cheveux de tous les beaux jeunes gens ? Que je t’y reprenne, et, sans marchander, je te livre aux magistrats. » Le geste suit les paroles ; il fourre sa main dans ma gorge, et m’arrache avec rage les cheveux que j’y avais cachés. Très déconcertée de ma mésaventure, et songeant à l’humeur de ma maîtresse, qu’une contrariété de ce genre peut mettre hors d’elle-même, et qui alors me bat à outrance, je fus au moment de prendre la fuite ; mais j’ai pensé à vous, et je n’ai pu m’y décider. »
Illustration : quel épisode de L’Âne d’or Tosca a-t-elle évoqué tout à l’heure ?
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Remets le texte dans l’ordre, puis prends en charge l’analyse grammaticale d’une phrase.
Nunc etiam adulescentem quendam Boeotium summe decorum efflictim deperit totasque artis manus, machinas omnes ardenter exercet.Audivi vesperi, meis his, inquam, auribus audivi, quod non celerius sol caelo ruisset noctique ad exercendas inlecebras magiae maturius cessisset, ipsi soli nubilam caliginem et perpetuas tenebras comminantem.Hunc juvenem, cum e balneis rediret ipsa, tonstrinae residentem hesterna die forte conspexit ac me capillos ejus, qui jam caede cultrorum desecti humi jacebant, clanculo praecepit auferre.Quos me sedulo furtimque colligentem tonsor invenit et quod alioquin publicitus maleficae disciplinae perinfames sumus, adreptam inclementer increpat :"Tune, ultima, non cessas subinde lectorum juvenum capillamenta surripere? Quod scelus nisi tandem desines, magistratibus te constanter obiciam."Et verbum facto secutus immissa manu scrutatus e mediis papillis meis jam capillos iratus abripit.Quo gesto graviter adfecta mecumque reputans dominae meae mores, quod hujus modi repulsa satis acriter commoveri meque verberare saevissime consuevit, jam de fuga consilium tenebam, sed istud quidem tui contemplatione abjeci statim.
Séance 9 – Sélection d’un extrait par les élèves eux-mêmes
Consignes :
-Trouve sur Internet (à l’aide des sources déjà consultées et du document de Tosca) un extrait de L'Âne d’Or évoquant la guérison de Lucius (10 lignes de latin, accompagnées de la traduction).
Sources utilisables :
Français
https://fr.wikisource.org/wiki/L'Âne_d'or_ou_les_Métamorphoses/Texte_entier
Latin
http://www.thelatinlibrary.com/apuleius.html
-Imagine quelques questions de lexique et de traduction qui pourraient t’être
posées lors de l’épreuve du Calame d’Or.
1 Plante aromatique utilisée en pharmacopée et comme condiment.